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"amateur éclairé ou marin confirmé, naviguer sur nos traces peut vous mener au bout de votre envers" accueil gare aux voyous " seules, les pensées vagabondent ... " amours, amants, maîtresses ... conseledise et ... mots valise contact bienvenue … 22 02 2008 si certains pensent impudeur alors que d’autres se noient en voyeurs qu’ils aillent fouiller leurs poubelles ailleurs. ne pas être en capacité de discerner, ce qui en toute sincérité est donné, peut passer pour une folle et belle débilité, beaucoup d’inanité et trop peu d’amitié. l’intelligence du cœur ne s’achète pas, t’en possède ou pas. donner des leçons est toujours facile, en recevoir mérite beaucoup plus d’attentions. dans ce monde d’ombres ou se croisent l’ordinaire, le fragile, l’émérite et le niais, le percevoir est affaire d’avertis, humbles à l’écoute des mots et de leurs silences. tout ceci s’apprend, avec envie, rage et patience. le reste n’est qu’illusions, superficialité et inconscience. merci de vous arrêter sur le bord de ces pages. l’endroit est à l’ombre, au frais à l’orée des mots. si ces « r’images » vous invitent aux partages … bienvenue chez nab & co. commentaires : 10 commentaires » catégories : liens , littérature , paroles, ballades, rimes en tous genres , textes s’ombre et lumineuse 12 11 2016 que fais-tu de ton ombre a l’heure où elle disparait et que se poursuit la ronde de ce monde incomplet ? quand en rêves, tu plonges que se poursuit ta vie crois-tu qu’elle s’allonge au milieu de ton lit ? que fais-tu de sa « lumière » quand au plus fort du jour elle plombe toute entière eclabousse tout autour ? marches-tu rayonnant-e auréolé-e de puissance ? ton pas est-il plus pesant avances-tu en silence ? cette ombre que tu croises et qui ne te quitte pas augmente-t-elle l’ardoise de tes petits tracas ? aimerais-tu la saisir et lui marcher dessus ? peut-elle te trahir quand tu ne la vois plus ? pourtant elle t’appartient et c’est bien la tienne quand tu suis ton chemin elle est là telle une chienne. peut-elle être messagère te servir de couronne ? ou bien mensongère quand elle fanfaronne ? aimerais-tu l’adopter l’avoir comme amie la prendre en amitié tout au long de la vie ? quel que soit ton avis c’est bien ta passagère qui te précède et te suit entre ombres et lumières. commentaires : aucun commentaire » catégories : littérature , paroles, ballades, rimes en tous genres , textes comme un saxo 7 11 2016 comme un saxo qui hurle, souffre et pleure la plainte qui sourd dans mes entrailles tremble, vibre, gonfle, enfle avec douleurs c’est la musique de l’amour qui me travaille. comme l’halètement sec du coureur de fond planeur de solitude qui martèle le sol son souffle court, cadencé bat à chaque bond chacune de ses foulées semble un envol. comme une toile peinte, forte, imprécise les visions qui l’habitent hantent mes regards de teintes pleines, douces et agressives ce sont les couleurs de l’amour qui m’égarent. comme la marche souple du félin sauvage inquiet, tendu, précis, tous ses sens aux aguets dont tous les mouvements tels des ancrages dans sa lutte pour la vie, la mort … sont parfaits. comme ces mets à l’odeur exquise, fins, relevés dont chaque bouchée se mâche délicatement se déguste, le regard perdu, mi-voilé c’est le goût de l’amour que j’avale lentement. comme cet homme solitaire et tranquille dont les mouvements lents, calculés, intérieurs masquent aux regards des autres son état fébrile parce qu’il affiche deux grands beaux yeux rieurs. comme ces parfums aux senteurs si suaves qui épicent les narines, les pores de la peau aux éthers sinueux, tels de fins nuages c’est l’amour, ses odeurs dont tu m’as fait cadeau. pour ton ventre bien plat bel abri de la vie pour ton corps souple, jeune en harmonie pour le contours de tes seins, qui donnent des envies j’ai osé t’aimer et t’aime comme tout ceci. je t’aime comme cet oiseau au vol agile qui attend dans l’azur que sa lourde tendresse frémisse d’aise à l’approche tactile d’une de tes douces et longues caresses. je t’aime comme cet arbre au tronc puissant qui attend que son âme droite et rugueuse se polisse doucement au contact pressant de ton corps ferme, de tes mains généreuses. je t’aime comme ce lac aux eaux tranquilles qui attend dans le silence, sous la brume que tu viennes à lui, nue, vive, gracile dormir au plus profond de ses eaux brunes. si je te dois l’amour qu’aujourd’hui j’éprouve ces émotions de moi, inconnues jusqu’alors, c’est parce qu’en ton absence je découvre que je peux t’aimer davantage encore. commentaires : aucun commentaire » catégories : littérature , paroles, ballades, rimes en tous genres , textes l’arme … 7 11 2016 merci de déposer enfin ces vieilles armes et de m’offrir ainsi tes grosses larmes tu sais trop, comment sur tes joues elles roulent tu sais au moins maintenant, pour quoi elles coulent. laisses venir à toi cette vague puissante de tes émois profonds elle est la déferlante celle qui lave et nettoie ce qui se cache elle emporte avec elle tout ce qui fache et si ce miroir qui te fait face, efface peu à peu, au coin de tes yeux ces traces de ces buées claires, qui brillent fugaces laisses toi faire, même si un peu lasse si d’aventure tu perçois te retournant un regard complice, paisible, enveloppant laisses toi regarder, admirer, lécher et même plus, laisses toi approcher laisses venir vers toi cet homme amour regardes le tranquille en son contre jour il n’attend que toi, et tes bras en retour il espère goûter à ton goût d’amour lui aussi a cru voulu reçu perdu lui aussi a vécu reclus vaincu confus lui aussi aimerait après tant d’années aimer, être aimé recevoir et donner vous êtes l’un pour l’autre deux àmes données vous êtes l’un à l’autre comme attachés vous êtes l’un par l’autre comme condamnés faites confiance à votre nouvelle destinée il te sait forte courageuse déterminée longtemps seule à tout prévoir et organiser et aussi fragile et toute en sensibilités c’est ce qui lui plaît, fait ta personnalité alors laisses couler rouler déferler tu n’as plus rien à perdre et tout à gagner donnes lui ce que tu rêves d’être enfin belle radieuse heureuse tout en calins pour toi et pour lui forte et femme à la fois pour toi et pour lui dans le creux de vos bras pour vous deux âmes êtres enfin réunis comme deux vrais amants devenus des amis et si tu pleures à nouveau en lisant ceci tes larmes mettrons toutes tes armes aux oublis et feront battre à l’unisson ton coeur a l’unisson du sien tel un joli bonheur pour bâtir votre histoire un peu chaque jour a pardonner hier, et d’aujourd’hui a toujours vous offrir l’un l’autre sans détour ni retour construire et votre premier et dernier amour. commentaires : aucun commentaire » catégories : littérature , paroles, ballades, rimes en tous genres , textes l’absence … 6 11 2016 la terrible indécence de l’absence sourde sensation lovée en moi ce manque viscéral de la présence me rend encore plus vivant de toi. cette douleur douce si douceureusement ressentie au hasard des moments de vie me plonge dans un état de bonheur lent suave amer, me laisse comme engourdi sans toi, me sentir plein de nous, entiers, vivants même si, curieux, ce vague sentiment ce vide, si dense, si léger, si lancinant construit ainsi notre histoire d’amants devrais-je attendre encore et encore pour sentir, nos formes, nos mains, nos coeurs, s’emboiter, se caresser, en un corps à corps, seuls accordés à l’harmonie de notre bonheur ? commentaires : aucun commentaire » catégories : littérature , paroles, ballades, rimes en tous genres nous … 5 11 2016 en ces longs jours si beaux et ces nuits si belles où nous lissons nos peaux où nos coeurs s’appellent en ces instants de trêves ces présents précieux où vivent nos rêves et nos ébats gracieux où nous partageons l’un l’une et nous a ne faire qu’un don de riens à beaucoup où nos envies ultimes tissent cette trame entre ces liens intimes lovés en nos âmes où toi et moi unis en un regard noyé où nos mains amies s’unissent enlacées où s’effle